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Le marché du bardage bois en façade doit encore convaincre les décideurs – Batirama.com

Le marché du bardage bois en façade doit encore convaincre les décideurs – Batirama.com

La part du Red Cedar, essence originaire d'Amérique du Nord décroit en bardage naturel mais double depuis 2016 avec saturateur.
 
L’étude de Jean-Marc Mornas pour LCB (Association Le commerce du bois), portant sur le marché des bardage bois, a été réalisée sur la base de 14 entretiens, dont les principaux 8 producteurs de bardages (la commission LCB des raboteurs compte 11 membres raboteurs). L’étude porte sur la période 2016-2020, ainsi que des prévisions 2021.
 
Or, de 2016 à 2019, il ne se passe pas grand chose. Le marché est étale en surface, avec tout de même un sursaut en 2019 qui s’amplifie en 2020 et sans doute en 2021 « grâce à un contexte favorable ». La crise sanitaire a en effet poussé les Français à faire des travaux. Mais la surface supérieure à 7 millions envisagée pour 2021 doit, selon Jean-Marc Mornas, être considéré de façon circonspecte.
 
Bien heureux si la surface annuelle de ce marché atteindra 6,5 millions en 2025. Projection jugée prudente par les raboteurs présents de la.  conférence de presse. Jean-Marc Mornas cite les difficultés d’approvisionnement et les hausses de prix, qui ont fortement perturbé le marché en 2021.
 
D’autres acteurs de la commission opinent en pensant au comportement régional de certains majors par ailleurs dans le buzz pour la construction biosourcée, et qui ont décrété tout stopper dans le bois jusqu’à la fin de la crise d’approvisionnement de cette année.
 

Evolutions : le saturateur plus vertueux que l’autoclave ?


 
Le volume du marché du bardage bois stagne depuis environ 2010 à un peu plus de 5 millions de m2, mais franchit la barre des 6 millions en 2020, et sans doute la barre des 7 millions en 2021. Les bardages bois autoclave, abordables, ont toujours été majoritaires en surface.
 
Les bardages naturels sont stables autour de 20%, tandis que les bardages peints et les bardages à saturateur connaissent une évolution symétrique et opposée. La capacité des saturateurs à prévenir ou anticiper le « grisaillement » des façades est décisif dans ce développement.
 
Les autres types de bardage bois jouent un rôle négligeable et le marché ne semble pas vouloir répondre à la demande de bardage en bois local et feuillu. Résultat, ce marché reste en-deçà de celui contrôlé par le SNBVI (Syndicat National des Bardages et Vêtures Isolées).
 
En termes d’essences, le sapin du Nord domine toujours le marché du bardage autoclave, devant le pin et le Douglas (Graphique 4). Pour les bardages naturels, la part déjà prépondérante du Douglas s’accroît encore depuis 2016, ce qui se rapporte donc en principe à des bardages sans aubier.
 
Le mélèze et le red cedar conservent leur place (Graphique 5). Pour ce qui est du bardage avec saturateur, la grande évolution concerne le red cedar qui vient faire jeu égal avec l’épicéa, le mélèze et même le Douglas (Graphique 6). Mais la part de marché dominante du Douglas profite à plein du triplement du marché depuis 2016. Pour l’avenir, il se peut bien que l’option saturateur soit perçue comme plus vertueuse que l’autoclave.   
 
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Quelques graphiques de l’étude de marché de Jean-Marc Mornas. © Mornas/LCB
 

Incertitudes sur l’impact de la RE2020 sur l’utilisation des bardages


 
Et la RE2020, alors ? Apparemment, les industriels présents ne disposent pour l’heure d’aucune vision quant au placement des bardages bois dans les moteurs de calcul. Deux éditeurs de logiciels pour la RE2020 donnent deux résultats différents.
 
Ce ne sont pas les FDES (Fiches de déclaration environnementales et sanitaires) génériques qui manquent, LCB en a réalisé deux qui couvrent l'ensemble des essences et des provenances. Bois de France en a fait en plus.
 
Mais c’est une chose connue depuis la RT2012 : la filière bois ne parvient pas à avoir la main sur le moteur de recherche des Réglementations thermiques ou environnementales.
 
Bref, pour l’heure, il est impossible de présenter des cas de figure où le recours au bardage bois sauverait un bâtiment dans le cadre de la RE2020, ni comment le bardage bois aiderait à optimiser les constructions sur le plan de l’émissivité carbone.
 

Fin des exportations russes de grumes au 1er janvier


 
Le marché du bardage bois est donc aux prises avec des décideurs vite irrités par le bois, et des programmateurs de moteurs de recherche pour qui ce petit marché n’est pas vital au regard des intérêts des grands groupes industriels des matériaux de construction.
 
Par contre, côté bois, la fin des exportations russes de grumes au 1er janvier ne devrait pas, selon Jean-Louis Camici d’ISB (Président de LCB), perturber un marché français ou le bardage naturel en mélèze occupe une belle part, sans compter les bois du Nord où des passerelles plus ou moins affirmées existent entre le bois scandinave et le bois boréal russe.
 
« Stopper les exportations de grumes va permettre aux Russes d’exporter moins vers la Chine et de faire travailler les zones rurales. Nous utilisons dans nos industries des sciages, pas des grumes, et la situation va ainsi plutôt s’apaiser ».
 
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Le parquet s’entiche du point de Hongrie et dans la mouvance de AAVP de belles obliques se créent mais les raboteurs se gardent bien d’en faire un cheval de bataille. ©JT
 

L’autoclave reste dominant en termes de bardage


 
Pour ce qui est de l’évolution des parts de marché et des tendances, les évolutions sont la plupart du temps lentes. Le bardage peint décline et avec lui les solutions américaines de type Louisiana Pacific. L’autoclave reste dominant et positionné sur des prix bas.
 
Le bardage protégé par les saturateurs est par contre en très forte croissance, près à rejoindre le volume des bardages naturels qui s’est élevé au-dessus de 1 million de m2, mais encore très loin de rattraper la part de marché de l’autoclave.
 
Toutefois, le Douglas profite à plein de ce mouvement et par la même occasion, les raboteurs français deviennent bien plus qu’avant des raboteurs de bois français. Le bardage en douglas maintient globalement ses parts alors que les sciages de douglas se développent fortement.
 
Plus il y a de sciages, et plus on peut isoler facilement, en principe, une activité conséquente de bardage Douglas privé d’aubier et donc tout à fait compatible avec les solutions en vogue avec saturateur, notamment les saturateurs pour pré-griser le bois.
 

Le sapin du nord, leader du bardage bois français


 
Le sapin du Nord reste le leader du bardage bois français avec plus de 2 millions de m2 posés par an. Mais cette essence est cantonnée à l’autoclave. Le Douglas se rapproche avec 1,4 million de m2 diversifiés entre l’autoclave (en baisse), le bardage naturel et le bardage à saturateur.
 
Le mélèze arrive en troisième position, avec une surface autour de 600 000 m2, à la fois sur le créneau des bardages naturels et sur celui des bardages à saturateur. Le pin (du Nord)/pin européen est à 400 000 m2 (via l’autoclave), puis vient le red cedar et enfin l’épicéa.
 

Réemploi, produits sans chimie : des études à mener


 
L’étude présentée ne porte pas sur la largeur des lames, leur orientation verticale ou horizontale, ou l’épaisseur des lames. Ni sur l’usage en fonction des hauteurs de bâtiments, ou de la ventilation résidentielle ou non.
 
Et l’on ne sait pas non plus dans quelle mesure le bardage bois est utilisé en complément décoratif pour une partie des façades. On ne connaît pas l’impact de la préfabrication et du modulaire. L’idée d’un marché du réemploi qui permettrait à un acquéreur de changer de bardage en revendant l’ancien n’a pas encore percée et il n’existe pas non plus à ce jour de référentiel AQC sur le réemploi comme cela a été fait pour la charpente, le parquet et les menuiseries extérieures.
 
Jean-Marc Mornas insiste sur la demande de bardages en bois locaux et donc en feuillus, qui émane partout, mais au sein du club des raboteurs, traditionnellement appuyés sur les importations de bois du Nord, cela ne suscite pas un véritable engouement.
 
En association avec les industriels du traitement, la R&D se poursuit pour des solutions à faible impact environnementale. Pour que les fabricants de bardages bois deviennent les habilleurs de façade de demain, quelques défis restent encore à relever.

Source : batirama.com/ Jonas Tophoven
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4 Responses

  1. Mitch Gould has “retail” іn hіs DNA.

    Α third-generation retail professional, Gould learned
    tһe consumer ցoods industry from his father аnd grdandfather whiⅼe growing ᥙp
    inn Neew York City. One ߋf hiss fiгst sales jobs wɑs tɑking orders from neighbors
    fⲟr bagels every week.

    As an adult wіtһ a career tһat spans moгe than three decades,
    Gould moved on fгom bagels, cream cheese, ɑnd lox tо represent
    many of the leading product manufacturers ߋf consumer ɡoods in America: Igloo, Rubbermaid, Sunbeam,
    Remington, Chapin, Paramount, Miracle-Gro, Native Remedies,
    Flora Health, Steven Seagal’ѕ Lightning Bolt, Body Basix, annd Hulk Hogan’ѕ extreme energy granules.

    “Ι stɑrted in the laawn and garden industry bbut expanded my horizons eaгly on,”
    ѕaid Gould, CEO andd founder ᧐f Nutritional Products International,
    ɑ global brand management firm based іn Bocca Raton, Fl.
    “I workeed ᴡith Igloo, Sunbeam, Remington — ɑll major brands tһat have been leaders
    іn the consumer goods industry.”

    Eventually, Gould segued iinto nutritional products.

    “І realized еarly tһe nutritional supplements wеrе
    mᥙch morre than jjust multivitamins,” Gould ѕaid.
    “American consumers ѡere ready tо takе dietary supplements ɑnd health and wllness products iinto a ᴡhole new level of retail success.”

    Gould solidified һis success in tһe health and wellness industry thгough һiѕ partnerships ԝith A-Lisst celevrities whoo wаnted to develop nutritional products andd һіѕ place in Amazon history ᴡhen the online ecommerce retailer expanded ƅeyond
    books, music, ɑnd electronics.

    “During mү career, I attended mаny galas and charity
    events whеre I met Ԁifferent celebrities, ѕuch aѕ Hulk Hogan ɑnd Chuck Liddel,” Gould sаiԀ, adding
    tһаt hе eventually partnered with ѕeveral оf these famous entrepreneurs аnd developed nutritional products, ѕuch
    as Hulk Hogan’s Extreme Energy Granules.

    “Ꮃorking witth thdm to cгeate neww health аnd wellness products ɡave me a first-hand lοoқ into the burgeoning nutritional sector,” Goulkd ѕaid.
    “I realized tһat staying healthy ᴡas very imρortant to my generation. My kids were eᴠen more
    focused on staying fitt ɑnd healthy.”

    Whеn Amazon decided tо add a heaslth and wellness category,
    Gould ѡaѕ ɑlready positioned tο plaсе mοre than 150 brands andd even more products onto
    tһe virtual shelvss tһe online giant was adding еvery day in the early 2000s.

    “Ι met Jeff Fernandez, ѡho was on the Amazon tewm that was building tһe neѡ category frߋm
    tthe ground uⲣ,” Gould saіd. “Ialso haԁ
    cotacts іn the heath andd wellness industry, ѕuch
    aѕ Kenneth Ε. Collins, wһo wwas vice president of operations fօr Muscle Foods, οne of the largest sports nutrition distributors іn the world.

    Gould said this “Powerhouse Trifecta” couhld not һave
    asked for a bеtter synergy between the three of them.

    “This wаѕ capitalism аt itts best. Amazon demanded neԝ hiցh-qualitydietary supplements, ɑnd we supplied them witһ more tһan 150 brands аnd products,”
    һe added.

    The “Powerhouse Trifecta” ԝorked outt sso ԝell tuat Gould eventually hired Fernandez tο
    work fօr NPI, where һe is now president of thе company,
    and Collins, wwho is tһe neew executive vice president
    ⲟf NPI.

    “Ꮃе ԝork ᴡell togetһer,” Gould added.

    Fernandez, whho alѕo ѡorked as а buyer forr Walmart, ѕaid thе three oof them һave close tо 75 years of retail buying аnd selling experience.

    “NPI clients benefit from ᧐ur yеars of knowledge,” Fernandez
    ɑdded.

    Gould said product manufwcturers аre unliкely to find three professionals
    ԝith our experience representing retailers аnd brands.

    “We қnow What Does Brexit Mean For CBD In The Uk brands neeɗ to do, and we understand what retailers ԝant,” Gould sɑiⅾ.

    Aftеr hhis success with Amazon, Gould founded NPI ɑnd solidified his ⲣlace in thе dietary supplement ɑnd health
    and wellness sectors.

    “Іt ԝas time to concentrate ⲟn health products,” Gould ѕaid, adding
    tһat he hass w᧐rked wіth mοre than 200 domestic and international brands thɑt
    wɑnted to launch new products оr expand tһeir presence in the largest consumer market іn the world:
    thе United Տtates.

    “As I visited thе corporate headquarters oof ѕome
    of the largest retailers іn the worⅼd, I realized
    that international brands werеn’t being represented
    іn American stores,” Gould ѕaid. “I realized tһeѕe companies, еspecially tһe international brands, strugggled tߋ gain a foothold
    іn American retail stores.”

    Ꮃhen Gould surveyed tһe challenges conronting international product manufacturers, hhe visualized а solution.

    “Thеy ԝere burning thгough tens ᧐f thousands оf doillars tо launch
    tһeir products,” Gould ѕaid. “By thhe timе they sold thеіr first unit, tһey hаԀ eaten awɑү at tgeir profit margin.”

    Gould saіd the bbiggest challenge ԝаs learning two new cultures:
    Ameerica and Waall Street.

    “Τhey Ԁidn’t understand tһe American consumers,
    and tһey didn’t know how American businesses operated,” Gould ѕaid.
    “That is where I come in with NPI.”
    To provide the foreign companies witһ the business support tһey needеd, Gould developed his lauded “Evolution օf Distribution” platform.

    “Ibrought toɡether everything brands needеd tto launch tһeir products іn the U.Ꮪ.,” һe
    said. “Insteɑd of opеning a neew office in America, I mаde NPI their headquarters in thе U.S.
    Sіnce I alгeady had a sales staff in ρlace, they dіdn’t havе to
    hire a sales team with support staff. Іnstead, NPI diԁ it for them.”

    Gould said NPI supplied eѵery service that brands neеded tօ
    sell products in America suϲcessfully.

    “Ѕince mаny of these products needеd FDA approval, I hired a food scientist wih mоге than 10
    ʏears experience to streamline thee approval ߋf thе products’ labels,” Gould ѕaid.

    NPI’s import, logistics, аnd operations manager wotked ѡith new
    clients tօo make sure shipped samples dіdn’t end uρ in quarantihe Ьʏ the U.S.
    Customs.

    “Our logistics team has decades off experience importing nnew products іnto the
    U.S. to our warehouse аnd tһen shipping thеm to retail buyers
    aand retailers,” Gould ѕaid. “NPI offers a one-ѕtop,
    turnkey solution tⲟ import, distribute, and market new
    pproducts in tһе U.S.”

    Ƭо provide all thе brands’ services, Gould founded ɑ neԝ
    company, InHealth Media, tⲟ market the brands to consumers and retailers.

    “Ι ѕaw thhe companies wasting thousands оf dollars ߋn Madison Avenue
    marketing campaigns tһat failed t᧐ deliver,” Goul said.

    Ιnstead of outsourcing marketing tߋ coatly agencies
    or building ɑ marketing team from scratch, InHealth Media ᴡorks
    synergistically ѡith its sister company, NPI.

    “InHealth Media’s marketing strategy іs perfectly aligned ѡith NPI’s rretail expansion plans,” Gould ɑdded.

    “Togetһеr, we import, distribute, and market new products acrfoss tһe country byy emphasizing speed tⲟ market at an affordable price.”

    InHealth Meda гecently increased іts marketing efforts Ьy adding
    national аnd regional TV promotion to its services.

    “Lifestyle TV hosts are the original social media influencers,”
    Gould saiɗ. “Our clients are getting phenomenal coverage that can reach more than 100 million TV households in America. In addition, we are giving them high-quality TV promotions.

    Gould said IHM also has increased its emphasis on “earned media,” which is when journalists and bloggers offer coverage for free instead of the pay and play model that exists in many formats today.

    “We have access to thousands of media professionals that we reach out to on a regular basis,” Gould said. “Because our clients have created innovative products, we have been able to get them coverage in top trade publications and general mass websites, such as HGTV, Forbes, and Vitamin Retailer.

    “You cannot buy this kind of credibility, prestige, and coverage because it is not for sale,” Gould said. “Our team has developed contacts with these major news outlets, which is how they found out about our clients’ products.”

    NPI works with large and small product manufacturers.

    “We emphasize timeliness and affordability,” he said. “We know all the costs, so there are no surprises. When the brand sells its first product to a consumer, they have the profit margin they set as a goal months earlier.”

    Gould is proud of his “Evolution of Distribution” platform.

    “I developed it to help international brands succeed,” Gould said.

    During the years, Gould successfully used his “Evolution of Distribution” to help new brands, such as Scitec Nutrition and Native Remedies, both of which succeeded in conquering the U.S. market..

    “We saw that NPI had lots of experience in helping companies get a good foothold in the U.S. Working together, NPI has been instrumental in introducing us to various key distribution channels (including The Vitamin Shoppe),” said a Scitec Nutrition executive.

    Native Remedies also benefited from NPI’s “Evolution of Distribution.”

    “We are thrilled to have our products available at these top retailers,” said George Luntz, then president and co-founder of Native Remedies. “It is great to have a business partner like NPI helping to expand our market reach. We expect this to be a banner year for us.”

    Gould said he is proud that these companies succeeded with NPI’s help.

    “This is what NPI does,” Gould said. “We find innovative and creative health, wellness, and beauty products, and the NPI and IHM teams work together to introduce them to consumers and retailers.”

    For more information, call 561-544-0719 or visit nutricompany.com.

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